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                      Quelques plats de la region de MECHERIA.





























































































































































 
 

 




 

 




Cette abeille saharienne, plus connue des
scientifiques sous le nom d’Apis Mellifera Sahariensis, est l’une des races peuplant le sud ouest algérien plus particulièrement les Monts des Ksour, Mechria, Bechar et Beni Ounif, selon le directeur général de l’ITELV. L’objectif premier de cette initiative pionnière, selon M. Boudjenah Ahmed, sera d’assurer la pérennité de l’espèce qui est en voie de disparition et de booster par la même occasion la production de miel dans la région tant sur le plan qualitatif que quantitatif.




 L’amélioration des rendements de différents produits des ruches dans la région à l’instar du miel, la cire, pollen, gelée royale ou le venin, devrait ouvrir des perspectives prometteuses dans nombres de filières que se soit agro-alimentaire, pharmaceutique ou cosmétique. a-t-il ajouté.

 Le même responsable a indiqué que ce territoire situé au sud du haut Atlas en bordure de la frontière marocaine et du Sahara est caractérisé par un climat rude où d’importants écarts de température entre le jour et la nuit sont enregistrés et l’air y est très sec avec des vents de sable fréquents et pénibles.

 Ces zones arides se caractérisent, selon M. Boudjenah, par leur pauvreté en tapis végétal comparé avec le nord du pays et les abeilles ont à leur disposition des fleurs épanouies durant un court laps de temps qui s’étale sur 1 à 3 mois au printemps.

 Néanmoins, ces étendues steppiques et semi désertiques recèlent quelques espèces d’arbres fruitiers, des luzernières et divers légumineuses, des tamarix, des saxifrages et quelques composées épineuses (jujubier) pouvant assurer une importante production de miel d’une qualité exceptionnelle, a-t-il précisé.

 Comme la plupart des ces plantes sont connues par leurs vertus thérapeutiques, le miel extrait des ruche de l’abeille saharienne d’ordinaire marron foncé recèle naturellement ces propriété dont raffolent les consommateurs.

 En outre, cet insecte pollinisateur possède des qualités indéniables en milieux extrêmes notamment sa capacité à parcourir plus 8 Km dans sa quête de pollen contre seulement 3 Km pour l’abeille Tellienne sans oublier son manque d’agressivité.

 Et contrairement à sa consoeur tellienne, elle récolte beaucoup plus de miel et de pollen tout en étant très économe car elle réduit aussitôt la ponte et garde précieusement ses réserves pour faire face aux disettes, a-t-il encore précisé.

 Mais diverses menaces guettent l’abeille Saharienne à l’instar des invasions acridiennes périodiques entraînant la mise en oeuvre de puissants moyens de lutte qui, s’ils sont efficaces à l’encontre des criquets, anéantissent aussi les insectes utiles en particulier les abeilles.

 En outre, cette espèce qui s’est adaptée à cet environnement hostile durant des millénaires, fait face après l’incursion de l’abeille tellienne dans son berceau d’origine à une véritable altération génétique qui risquerait de créer des abeilles hybrides non résistantes.

 Le même responsable estime que l’introduction de l’apis mellifica Sahariensis aura un “impact scientifique considérable”, car après avoir réhabilité cette race très robuste, L’ITELV se lancera dans la sélection qui est la base de tous les travaux inscrits dans le domaine de l’amélioration génétique de certains caractères qui auront un impact sur les performances zootechniques de l’abeille saharienne.

 Quant à l’impact technique, un groupe de chercheurs aussitôt installés aura la charge d’arrêter les méthodes d’élevage et de sélection de reines suivant un protocole adapté aux conditions de la région d’origine du projet et les stations choisies vont enrichir leur savoir-faire pour être plus performants et économiquement plus viables. a-t-il indiqué.

 M. Boudjenah a affirmé par ailleurs, que l’apiculture est une source de richesse dont le développent, en terme d’emploi, peut sans nécessiter un investissement conséquent, conduire à une multiplication d’activités complémentaires voire même principales.

 Cependant, dans le cadre de la mise en valeur des terres, les petits élevages peuvent assurer des recettes intéressantes, ce sont des spéculations et leur cycle de production permet un rapide turn-over du financement, a-t-il ajouté.

 L’apiculture en Algérie possède de réelles possibilités de se développer eu égard aux immenses potentialités qui ne demandent qu’à être exploitées et certaines sources bibliographiques situent même ces potentialités entre 20.000 à 40.000 tonnes de miel/an, a conclu le directeur général de l’Institut Technique des Elevages. source: aps



































































 











 

 
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